Un conte
de "faits"
pour restaurer une
Communication et des relations authentiques entre les hommes...
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un grand et puissant Roi nommé Véritable
qui régnait sur un immense Royaume : le Royaume de la Vie
Authentique. Il avait deux filles : l’aînée s’appelait Relation
Véritable et la cadette Communication
Véritable. Les deux jeunes filles étaient inséparables
et faisaient les délices de leur père et de tous les habitants du
Royaume.
Un
jour, Communication,
la plus jeune fille, dit à son père : « Mon père,
donne-moi la part de l’héritage qui doit me revenir ». Et le
père leur partagea tous ses biens. Peu de jours après, Communication
rassembla tout ce qu’elle avait et partit pour un pays lointain,
appelé le royaume du mépris distingué, pays dans lequel, lui avait
on dit, les habitants communiquaient les uns avec les autres, à
l’aide de moyens de communication fabuleux et sophistiqués :
téléphones, mobiles, fax, minitels, videos, satellites, paraboles,
multimedia, ordinateurs, réseaux internet, dvd, et bien d’autres
encore…
Dans
ce pays, elle se laissa griser par toutes ces prodigieuses inventions
et dissipa sa fortune et ses biens en vivant dans une véritable
débauche de communications.
Lorsqu’elle
eut épuisé toutes les possibilités que lui offraient ces multiples
outils de communication, survint alors dans ce pays une grande famine
de relations humaines authentiques, et Communication
commença à manquer de l’essentiel. Elle se lia d’amitié avec un
des responsables du pays qui l’envoya dans des familles, des écoles,
des entreprises, des institutions et organismes divers, pour enseigner
aux hommes comment mieux communiquer entre eux. Elle aurait bien
voulu se rassasier de toutes leurs techniques de communication,
de leurs faux-semblants, de leurs masques d’hypocrisie, de leurs
manques d’accueil, d’écoute, de respect, de considération, de vérité,
d’humilité, d’intérêt réel pour autrui, dont ils se nourrissaient
quotidiennement, mais hélas, son estomac fragile habitué aux mets
délicats du Royaume de la Vie Authentique, ne pouvait les supporter.
Alors,
rentrant en elle-même, Communication
se dit: combien d’employés dans le royaume de mon père ont des relations
véritables en abondance, comme celles que j’avais moi-même avec
ma chère sœur Relation,
et moi, ici, je péris à cause de cette famine. Je me lèverai, j’irai
vers mon père et je lui dirai : Père, j’ai gaspillé et perdu tout
ce qui faisait ma beauté et ma richesse, je ne suis même plus digne
d'être appelée ta fille.
C’est
ainsi qu’elle se leva et alla vers son père. Comme elle était encore
loin, celui-ci la vit et fut ému de compassion ; il courut se jeter
à son cou et l’embrassa. Communication
lui dit : « Père, pardonne-moi, je t'ai offensé et j'ai gâché et
sali tout ce qui faisait ma beauté et ma richesse, je ne suis plus
digne d'être appelée ta fille .»
Mais le père dit à ses serviteurs : « Apportez vite la plus belle
robe et mettez-la lui ; mettez lui une bague au doigt et des souliers
pour ses pieds ; amenez le veau gras et faisons un festin. Mangeons
et réjouissons-nous, car ma fille Communication
Véritable
que voici, était morte, et elle est revenue à la vie, elle était
perdue et elle est retrouvée ! »
Et
ils commencèrent à se réjouir…
Et
vous, voulez-vous aussi participer au festin ?
Alors
contactez-moi sans hésiter, et, si vous le souhaitez, je pourrai
vous adresser par e-mail la version
intégrale de ce conte/parabole. (20 pages environ).
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